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Director:
Aurore Fattier
Role:
Othello
“Il était une fois à Venise, un Maure très beau et très vaillant. Ses prouesses et sa prudence dans l’art de la guerre lui valaient d’être tenu en grande estime. Il se trouve qu’émue par son courage, une jeune et noble vénitienne appelée Desdemona s’éprit du Maure, et que vaincu par sa beauté, il lui rendit son amour.” Ainsi commence la fable d’Othello… avant que Iago ne répande dans l’oreille du Maure le meurtre et l’infamie. Afin d’habiter Othello de l’intérieur, la mise en scène en déconstruit la trame narrative, la met à la lumière de textes contemporains, d’histoires d’esclaves noirs et la campe dans une esthétique de roman noir. Le violent désir qui se dénature en désir de violence et court dans cette pièce est porté par du free jazz, de la vidéo et des chansons d’amour.
Press:
Pour camper les pôles de la tragédie, Aurore Fattier a choisi deux acteurs d’exception. William Nadylam (qui fut notamment Hamlet chez Peter Brook, est familier du grand comme du petit écran, et qu’on verra dans le 2e volet des Animaux fantastiques) livre un Othello d’une tendresse altière avant que se referme sur lui le piège d’infamie qu’élabore Iago. La Libre.be
Director:
Kaneza Schaal
Role:
Multiple Parts
GO FORTH draws inspiration from the Egyptian Book of the Dead, a text originally intended to provide the deceased with a blueprint to the afterlife. Incorporating analog projections, singing, and dance, the work animates a series of burial vignettes focusing on the scroll’s central metaphor: the weighing of the heart. The performance proposes burial not as erasure but as offering restitution and creating space for the presence of the absent, the longed for, and the imagined.
Press:
"an elegant and energetic memorial of sorts to the African father of the woman who directed it...these actors bring both stylized grace and chthonic heft to their exertions" --New York Times
Director:
Hervé Loichemol
Role:
Candide
Le monde désastreux que traverse Candide est celui de Voltaire, celui de la Guerre de Sept Ans et du tremblement de terre de Lisbonne, celui de l’inquisition, du fanatisme, de l’exploitation, de la pornographie et de la bêtise. Soyons justes, c’est encore un peu le nôtre, à peine, quotidiennement vendu comme le meilleur des mondes possibles puisque le seul vendable. Et l’amour dans tout ça ? Pas de panique, Dieu y a pensé, il a pensé à tout, Voltaire aussi, qui nous a donné Cunégonde, pour combler les appétits virils et faire vibrer l’âme de Candide. Un peu d’amour surtout, ultime consolation, afin d’habiller le désastre.
Director:
Alvaro G.de Zuniga
Role:
Othello
Director:
William Nadylam, Bruno Freyssinet
Role:
(director)
L'auteur David Hare nous plonge dans le théâtre des tractations diplomatiques qui prennent place entre le 11 septembre et le début de la guerre en Irak. On retrouve les protagonistes de l'époque : Bush, Blair, Powell, Cheney, Villepin passant du discours officiel repris mot pour mot devant les médias ou à l'ONU, aux scènes imaginées des coulisses. Une “histoire vraie” où l'élite du monde politique évalue, planifie, calibre puis livre son discours au public. Ainsi, dans son ranch texan, Bush invite Blair à un poker menteur qui se conclura par trois blagues dérisoires devant la presse. Ou encore, à l’Hôtel Pierre, New-York, Powell et Villepin se livrent à une passe d’arme feutrée avant de s'affronter à l'ONU par discours interposés... Ces hommes politiques vont décider, tenter d'influer, se laisser influencer pour des enjeux qui vont hypothéquer la vie de milliers de personnes, d'une nation, d'une région du monde. Ils vont poser les bases d'une nouvelle donne géopolitique et de concepts tels que : Axe du mal, guerre préventive, choc des civilisations... Quelques personnages contrepoints — journalistes, politiques de second plan, homme ou femme de la rue — tentent de trouver une brèche, cherchent une distance, une perspective. Un exilé irakien anonyme prend la parole pour l’épilogue de la pièce.
Press:
"Du côté de la direction d’acteurs, Freyssinet et Nadylam montrent qu’il savent faire : le ballet est parfaitement réglé. Ils ont réussi à montrer la face cachée des décisions politiques prises au plus haut niveau, ce qui est sans doute le propos de David Hare…Leur réalisation est d’une grande rigueur, sans effets inutiles." Théâtre du Blog
Director:
Peter Brook
Role:
Philemon
Directed and adapted by the legendary Peter Brook (“The Mahabharata”) in collaboration with Marie-Hélène Estienne and Franck Krawczyk, this Haunting piece is based on a story by the late South African writer Can Themba.
Set during the apartheid era, “The Suit” concerns the tragic chain of events that occur when the happily married Philemon (William Nadylam) unexpectedly returns home and finds his gorgeous wife, Matilda (Nonhlanhla Kheswa), in bed with another man. The lover flees in his underwear, leaving behind his elegant, well-tailored suit. And so Philemon, who prides himself on never resorting to violence, exacts a unique form of punishment: He forces his wife to treat the suit as an honored guest.Press:
"it exerts a formidable power, thanks in part to compelling performances by its leads. Nadylam is superb as the husband whose cruelty is all the more chilling for its forced casualness: “I see we have a visitor today,” he says at one point of his sartorial interloper." Franck Scheck - Huffington /NY POst
"Dans le rôle du conteur, Jared McNeill est parfait. Mais c'est surtout William Nadylam qui impressionne ici, par son élégance, sa capacité à émouvoir au plus profond. Il y a dans les yeux de son Philemon toute la douleur du monde, une douleur d'une qualité particulière, qui suscite l'empathie et la réflexion, et ne vous quitte plus de longtemps, tandis que vous laissez derrière vous l'antre aux sortilèges du marabout Brook" Le Monde - avril 2012
Director:
Jay Scheib
Role:
Lanya / Dragonlady
Based on "Dhalgren," Samuel R. Delany's classic science-fiction novel, "Bellona, Destroyer of Cities" is a vision of a dystopian city in which buildings burn and nothing seems to function.
Press:
"a visual and sonic stew" --Village Voice
"The charismatic Nadylam...is absolutely brilhant-brilliant. He makes acting a stimulating art that is a pure delight to experience." --NY Amsterdam News
Director:
Lukas Hemleb
Role:
Don Giovanni
'Director:
Catherine Anne
Role:
Kossi
Circuit-aventure en Afrique interrompu par une panne de quatre-quatre dans le désert : huit touristes et leur guide installent un campement au pied de la Montagne des Esprits. Chaleur accablante, désert oppressant, inquiétude, impatience. Et méfiance réciproque lorsque surgissent trois mystérieux naufragés tombés du ciel, dont un mécanicien providentiel. Les esprits rôdent dans les pensées de Kossi, guide et narrateur, qui part seul à pied vers le plus proche village.
Director:
Alvaro Zuniga
Role:
Solo Performance
Director:
Luc Bondy
Role:
Aaron
Botho Strauss a puisé dans la pièce Titus Andronicus de Shakespeare de quoi tracer, en dix-sept tableaux, un portrait au couteau du chaos contemporain. Ce n’est donc pas une simple version de Titus que dirige Luc Bondy, mais une lecture et une recréation d’une liberté formelle digne de la troublante sauvagerie de l’intrigue originale, modifiée (et aggravée) sur des points décisifs.
Director:
Peter Brook
Role:
Hamlet
Arrêtez quelqu'un, n'importe qui, dans la rue et dites lui : "que connaissez-vous de Shakespeare ?" Il y a de fortes chances pour que la réponse soit : "To be or not to be, être ou ne pas être..." Pourquoi cela ? Qu'est-ce qui est caché derrière cette petite phrase ? Qui l'a prononcée ? Dans quelles circonstances ? Pour quelles raisons ? Pourquoi cette petite phrase est-elle devenue immortelle ? On monte Hamlet partout, tout le temps...En clochard, en paysan, en femme, en pauvre type, en homme d'affaires, en star de cinéma, en clown et même en marionnette... Hamlet est inépuisable, sans limites.. chaque décade nous en offre une nouvelle analyse, une nouvelle conception...Et cependant, Hamlet demeure un mystère, fascinant, inépuisable... (Peter Brook)
Press:
"Dans le rôle-titre, William Nadylam manifeste toute la palette des tourments adolescents. Il dit l'exigence du vrai devant les accommodements du commerce social ; le besoin d'une langue poétique devant la trivialité des comptes ; le pari de l'incertitude devant la suffisance de l'habitude. William Nadylam danse Hamlet plus de deux heures de rang en équilibriste consommé de l'absolu sur le fil coupant qui sépare la vie de la mort." Le Monde, janvier 2003
"William Nadylam, dans le rôle du Prince d’Elseneur. Sa grâce et son engagement physique, son regard perçant, son intelligence du texte, sa capacité à traduire les tourments les plus intimes qui agitent son personnage, irradient le chef-d’œuvre de Shakespeare." Les affiches Lyonnaises, octobre 2002
Director:
Patricia Benecke
Role:
King Arthur
Using stories and characters originating in the legends of King Arthur and the Knights of the Round Table, Merlin explores the idea of sovereignty, as well as the human flaws that commonly undermine concepts such as war and conflict.
Director:
Declan Donnellan
Role:
Le Cid
Le Cid est sans conteste la pièce la plus célèbre de Corneille. Empruntant à l'inspiration espagnole, alors très à la mode, la pièce plaît aussi par la densité des actions spectaculaires, le panache de ses personnages et sa fin heureuse, puisque Rodrigue épouse Chimène. Avec sa mise en scène, présentée au Festival d'Avignon en 1998, Declan Donnellan est le premier à oser succéder à Vilar et à son Cid mythique de 1951, incarné par Gérard Philipe. Metteur en scène irlandais, il choisit de donner à voir ses personnages dans un contexte contemporain, où l'honneur est avant tout un mot vide, et où l'héroïsme le cède souvent à la peur, à la fanfaronnade ou au désir. Dans le rôle de Rodrigue, William Nadylam est noir comme les Maures qu'il combat, et donne à voir un personnage sensible et mal assuré, moins glorieux, mais plus humain que le stéréotype scolaire que l'histoire a généralement retenu. La nouveauté de cette relecture a sans doute contribué au grand succès de ce spectacle, qui a longuement voyagé après cette création.
Press:
"Pour mettre en scène Le Cid, Donnellan a réuni, sur audition, une troupe très honorable. A Rodrigue, William Nadylam apporte sa beauté d'éphèbe noir (aussi noir que l'Africain qu'il doit vaincre), sa fragilité et sa finesse. " L’express - juillet 1998
Director:
Jacques Nichet
Role:
Vastey
Cette pièce met en scène le destin tragique d’un homme et d’un pays. Elle décrit la lutte du peuple haïtien pour sa liberté, mais aussi le combat mené par un homme politique qui voulait restaurer la grandeur de son pays. Les vingt et un comédiens retenus, professionnels très expérimentés, témoignent de la diaspora noire. Les rôles principaux en dehors de Christophe sont assurés par des acteurs vivant désormais en France. William Nadylam (Vastey), de mère indienne de la Réunion, de père camerounais, était présent à Avignon l'an dernier dans La Servante, d'Olivier Py.
Director:
Elisabeth Chailloux
Director:
Olivier Py
Role:
Nour
Au début de la pièce, Marthe reçoit la visite d'un ange. Elle demande à quatre amis de porter la parole de ce mystère : elle enjoint Uzza à « faire parler la beauté » et Pierre à « rejoindre la guerre » ; elle donne à Nour « le droit de tuer » et offre à Oreste le théâtre pour le jour où il « mettr[a] [s]on deuil en scène ».
Director:
Géraldine Bourgue
Role:
Various
Director:
Paul Emmanuel Dubois
Role:
Various
Director:
Alain Knapp
Role:
Le Chevalier
Director:
Jean-Louis Thamin
Role:
Old Mac Kaynes
Director:
William Nadylam
Role:
Valmont
Director:
William Nadylam
Role:
Edmond
Director:
William Nadylam
Role:
Murphy
Director:
Monique Stalens
Role:
Satyagit
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